Revue de presse de l'Histoire - La Seconde guerre mondiale le cinéma les acteurs et les actrices de l'époque - les périodes de conflits mondiales viètnamm corée indochine algérie, journalistes, et acteurs des médias
Fantômas se déchaîne est un film d'aventure franco-italien d'André Hunebelle, sorti en 1965. Décoré de la Légion d'honneur, le commissaire Juve écume. Il vient de recevoir un télégramme de félicitations de Fantômas, dont les autorités se croyaient justement débarrassées. Pendant ce temps, les hommes de Fantômas enlèvent le professeur Marchand, l'inventeur du rayon télépathique. Fantômas compte faire de ce rayon une arme terrifiante qui lui permettra de dominer le monde. Il lui faut pourtant s'adjoindre les services d'un autre savant, le professeur Lefèvre. Juve et Fandor décident de tendre un piège à Fantômas. Fandor se substitue au savant menacé. Fantômas a eu la même idée. La confusion est totale. Finalement, c'est Hélène qui est enlevée...
Fantômas se déchaîne d'André Hunebelle avec Jean Marais - Raymond Pellegrin - Louis de Funès - Mylène Demongeot - Jacques Dynam - Robert Dalban - Henri Attal
Fiche technique
Distribution
Film d'André Hunebelle (France/Italie, 1965). Scénario : Jean Halain et Pierre Foucaud, d'après les personnages de Pierre Souvestre et Marcel Allain. Image : Raymond Lemoigne. Musique : Michel Magne. 95 mn. Avec Jean Marais, Louis de Funès, Mylène Demongeot, Jacques Dynam.
genre : comédie policière avec déguisements.
Juve est décoré de la Légion d'honneur. Fantômas lui envoie un télégramme de félicitations, puis enlève le professeur Marchand, dont l'invention doit lui permettre de dominer le monde. Mais celle-ci ne peut être utilisée qu'avec le concours du professeur Lefèvre...
Le détournement cinématographique du roman-feuilleton Belle Epoque de Souvestre et Allain ayant été accompli dès 1914, il n'y avait plus à se gêner. En avant le vaudeville, façon Hunebelle ! Les transformations et les acrobaties de Jean Marais comptent moins que les numéros de Louis de Funès. On se grime à qui mieux mieux. Le film s'est bonifié avec l'âge, prenant une patine nostalgique qui force l'indulgence...